“Je pense que ce sera difficile à répéter” – Andres Iniesta à propos du succès de l'équipe de Pep Guardiola à Barcelone

Andres Iniesta profite de l'occasion pour revenir sur sa brillante carrière de footballeur professionnel. Lundi, il a annoncé sa retraite à l'âge de 40 ans, mettant ainsi fin à 22 années remarquables dans le football.

Iniesta s'est adressé aux médias mardi lors d'une conférence de presse, au cours de laquelle il a abordé divers sujets qui ont eu lieu au cours de sa carrière. Barcelone a joué un rôle important et il a révélé son(ses) moment(s) préféré(s) au club catalan, selon Journal AS.

« Il y a deux moments. Ce jour-là à Bruges (débuts professionnels) et le jour où j'ai fait mes débuts au Camp Nou. Je me souviens que c'était la Journée des Rois, contre Recre. C'est comme réaliser ce rêve. De là est venu ce qui est venu. Évidemment, il y a eu beaucoup de moments qui me rendent heureux, mais ces deux jours-là.

Iniesta a également été interrogé sur l'équipe de Barcelone de Pep Guardiola, dans laquelle il a joué entre 2008 et 2012. Il a admis qu'il voyait très difficile que leurs réalisations soient un jour dépassées.

« Je pense que ce sera difficile de répéter cela, en termes de titres, car c'était sauvage. Mais dans le football et dans la vie, rien n’est impossible. C'est très difficile, mais pas impossible. Nous aimons toujours comparer les choses et ce n'est pas à cause de ce que nous avons vécu dans le passé que ce qui arrivera dans le futur doit être différent. Les situations sont là pour être surmontées.

Il a également évoqué le moment sans doute le plus important de sa carrière, celui de la victoire de l'Espagne à la Coupe du Monde 2010.

« Je pense que les années et les années passeront et nous continuerons à être enthousiasmés. Il n'y a pas de mots pour décrire ce moment. Quand je dis que nous marquons tous le but, c'est parce que je le ressens vraiment. C'est comme un moment paradisiaque. C'est plus que juste le physique. J'ai ressenti la force de chacun à ce moment-là. Surtout pour notre football. C’était le moment.